Energie
Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?
1.3 - Le niveau d'activité industrielle et du transport de marchandises
Le niveau de l’activité industrielle au niveau national le niveau de transport de marchandises, tant au niveau national qu’au niveau international, dépendent fortement de notre consommation de biens. Ils peuvent impacter tant notre consommation d’énergie, mais également entraîner des émissions indirectes pour la production des biens que nous importons.
Quel modèle de consommation de biens, mais aussi d’activité industrielle, jugez-vous le plus adapté aux défis auxquels fait face la France (1 réponse au choix) ?
- Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
- Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés.
- Une baisse significative de l’activité industrielle nationale, et donc des besoins énergétiques associés. Les besoins seraient toutefois comblés par une augmentation du commerce extérieur et du fret national, conduisant à une augmentation des émissions importées.
- Autre proposition
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Publié le 02/11/2022 - 17h11
BRIFABIENNE
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Choix A
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Publié le 02/11/2022 - 17h00
SebSeb
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
reporté chez les autres les contraintes environnementales dont nous ne voulons pas n'est pas une solution. Autant réinditrualiser chez nous, avec nos normes.
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Publié le 02/11/2022 - 16h48
fgarbay
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Les autres scénarios me semblent complètement utopiques.
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Publié le 02/11/2022 - 16h47
mcmc
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Il est illusoire de penser que notre besoin en produits manufacturés peut être drastiquement réduite. Il faut donc privilégier ou relancer la production nationale (ou européenne) d'un maximum de ces produits afin de réindustrialiser la France (et/ou les pays européens) afin de maintenir une croissance et un niveau d'emploi, et de limiter les coûts de transport et leur impact sur l'environnement.
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Publié le 02/11/2022 - 16h21
valnolwenn43@gmail.com
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Il faut consommer de façon différente mais l'économie actuelle est basée sur la surconsommation et pas sur une consommation raisonnée en fonction de nos besoins, une réduction du fret national et du commerce extérieur peut permettre ce changement.
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Publié le 02/11/2022 - 16h19
Hélène92
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Tout en ne choisissant que des projets verts et durables , d'arrêter la spirale infernale publicité-consommation qui conduit à notre ruine et celle de la planète. Apprenons : la consommation ne fait pas le bonheur
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Publié le 02/11/2022 - 15h41
CoralieS
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
La réindustrialisation est nécessaire pour faire revenir les savoir-faire en France et redonner leur vraie valeur aux produits de consommation. Attention elle doit aller avec une réduction de la consommation de biens, qui doit être réalignée avec nos réels besoins.
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Publié le 02/11/2022 - 15h26
rrrabia
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Il faut se focaliser sur ce qui apporte véritablement la prospérité à l'humanité. Trop d'industries sont tout simplement destructrices.
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Publié le 02/11/2022 - 15h16
serranojust
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Il faudrait indiqué le bilan carbone de chaque produit acheté et taxer en conséquence. Il n'est pas rationel qu'un tee shirt produit au bangladesh avec du coton chinois coute 10 fois moins cher qu'un tee shirt francais. Il faut produire localement mais surtout réduire notre consommation de biens inutiles, qui ont une durée d'usage très court. Dans ce cadre, une réglementation de la publicité serait également necessaire. Privilegier les objets de seconde main, mutualiser les biens ( par ex: à quoi cela sert il que chacun posséde une tondeuse à gazon pour s'en servirune fois par mois), et réguler l'obsolescence programmée.
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Publié le 02/11/2022 - 15h13
Deceris
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
D'abord se poser la question de savoir ce qu'on consomme et d'où ça vient, ensuite est-ce que ce que j'achète ou ce que j'ai envie d'acheter, j'en ai vraiment besoin, et pas seulement envie. A partir de cela chacun peut agir? Evidemment cela passe par de la pédagogie à tous les niveaux. Mais c'est insuffisant. Consommer des fraises en hiver, qui sont importées, et par camion de plus, ça ne peut plus durer. Cet exemple facile illustre les aberrations de la société de consommation, sans parler de tous les objets le plus souvent inutiles qu'on importe de Chine ou de loin. Donc, consommer, oui, mais intelligemment et certainement moins. Consommer pour maintenir un "taux de croissance positif" ne peut plus être l'alpha et l'oméga de notre monde. Beaucoup en ont conscience, hélas pas assez de politiques. Donc oui pour refaire venir des entreprises en France, oui pour une consommation relocalisée, et moins de gaspillage, mais pas n'importe quoi . Sur ce sujet, arrêtons d'emballer le moindre produit alimentaire dans du plastique : consommation effrénée de pétrole, pollution des océans et des sols, cela ne peut plus durer. Enfin, rendons nous à l'évidence, 60 ans de politique agricole dévastatrice, ça suffit : un nombre d'agriculteurs et de fermes divisé par 10 depuis la guerre, ou quelque chose comme ça, des centaines de milliers de km de haies rasées, des sols pourris par l'utilisation massive de pesticides, un empoisonnement massif des sols, des milieux des humains aussi, une disparition sans précédent de la vie, de la nature, des campagnes abandonnées, vidées de leurs habitants, et des habitants restants qui se sentent relégués et qui finissent par voter n'importe quoi, c'est à dire extrême-droite. Au secours ! Il est grand temps de changer.
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