Publié le 01/01/2023 - 16h33
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B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
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I - Le maintien d’une politique de R&D visant à développer de nouvelles technologies de réacteurs
Il est nécessaire de maintenir le financement en R&D visant à poursuivre l'amélioration de ce type de technologie qui s'inscrit bien dans les possibilités de mix énergétiques futurs. Il convient aussi de réduire la dépendance aux importations d'uranium afin de sécuriser la production. Par contre la construction de nouvelles centrales (en plus de l'existant, et non en renouvellement) s’inscrit dans un processus encourageant la croissance des besoins énergétiques qu'il conviendrait au contraire de freiner voir stopper. Un moyen efficace pour forcer la réduction nos consommations d'énergie est de ne pas augmenter les capacités de production. Les situations de manque sont le meilleur moyen de réduire les consommations (on l'a vu récemment lorsque l'UE s'est retrouvée au pied du mur suite à la guerre en Ukraine).
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