Publié le 01/11/2022 - 10h18

• A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

La minimisation de l'empreinte géographique des projets me semble bénéfique pour la préservation de notre patrimoine paysager et plus simple d'un point de vue de logistique industrielle, ainsi que plus acceptable pour nos concitoyens. L'indépendance énergétique est indispensable dans le monde qui s'annonce. Ce mix devrait aussi être compatible avec une réindustrialisation de la France.