Publié le 01/11/2022 - 15h47

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

La barre des 19 degrés me semble une limite à ne pas dépasser pour rendre acceptables les changements de pratiques. En revanche, il est tout à fait possible via une meilleure isolation des logements et des changements massifs de système de chauffage, de baisser les consommations d'énergie en conservant des températures confortables dans les bâtiments. Ces efforts d'investissements doivent être privilégiés et aidés par les collectivités (proportionnellement aux revenus) d'une part pour embarquer les consommateurs dans cette transition de progrès et d'autre part parce que c'est bon pour l'économie locale avec des entreprises spécialisées généralement proche des besoins.