Publié le 02/11/2022 - 08h02
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
La rénovation globale de tous les logements énergivore doit être réalisée au plus vite. Il faut aussi réaliser des bâtiments neufs avec des normes beaucoup plus exigeantes (BBC renforcée) qui à un faible impact sur l'investissement (5/100) et une réduction du coût énergétique de 80/100. La production énergétique des particuliers doit-être une priorité pour les pouvoir publics. Le transport de l'énergie est très couteux en perte d'acheminement. L'énergie produite et consommée localement est beaucoup plus pertinente. La généralisation des panneaux solaire, photovoltaïque et calorique, et des éoliennes à axe verticale de dernière génération est évidente, même s'il faut aussi des productions à grande échelle permettant de stocker l'énergie sous forme d'hydrogène. Il faut envisager une réglementation interdisant la veille des appareils électrique. Une formation à la surconsommation du stockage numérique est urgente, ce qui permettrai de réduire fortement la consommation des centres data qui va rapidement devenir problématique au vue des prévisions à 2050 (de l'ordre de 10 fois la consommation actuelle). il faudrait envisager que les acteurs du numérique soient obligés de payer les investissement de production énergétique de leur filière.
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