Publié le 02/11/2022 - 09h49
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
19 degrés dans les espaces de vie, 17 dans les chambres. Mais chez les particuliers, cela ne peut qu'être le résultat d'un choix individuel. La responsabilité première revient aux pouvoirs publiques: Il faut un plan de rénovation thermique urgent et conséquent des passoires thermiques, en rapport avec les enjeux. Avec des financements publiques qui suivent. Pas juste quelques millions saupoudrés de ci de là. Mais plusieurs dizaines de milliards d'euros, orientés vers les bâtiments identifiés par une classe d'isolation la plus médiocre et vers les ménages les plus précaires. Au-delà, de ça, il faut que les appareils électriques mis sur le marché soient tous dotés d'interrupteurs, ou d'une possibilité que leur fonctionnement soit programmés ou que leur extinction puisse être commandée par le fil pilote "heures creuses). Il faudrait aussi que les machines à laver puissent être alimentées par deux tuyaux: Eau froide et eau chaude, reliées au ballon d'eau chaude.
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