Publié le 02/11/2022 - 11h13

• A - La relance d’une politique électronucléaire globale et d’ampleur (mise en œuvre des trois piliers de Belfort), comparable à celle des années 1970 et 1980

• E - L’installation de nouveaux réacteurs nucléaires en priorité sur des sites de production d’électricité nucléaire existants

• I - Le maintien d’une politique de R&D visant à développer de nouvelles technologies de réacteurs

Bien sûr qu'il faut mettre le paquet dans la construction de nouveaux réacteurs, afin de maintenir la taille du parc existant et, espérons-le, à l'augmenter ensuite. Vu l'urgence de l'enjeu, les premiers nouveaux réacteurs doivent évidemment prioritairement être installés dans les centrales existantes, afin de limiter les aléas juridiques et les nuisances à la politique énergétique nationale générées par les idéologues antinucléaires. Et bien sûr, il faut relancer le programme Astrid, accélérer les programmes sur les SMR et les recherches sur les réacteurs à sel fondu. Bref: reprendre la main sur l'excellence industrielle française en matière d'industrie électronucléaire: La seule énergie pilotable à faible émission carbonée, et compatible avec les préconisations du GIEC.