Publié le 02/11/2022 - 11h42
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Il faut se débarrasser au plus vite des énergies fossiles qui restent dans notre mix électrique. Le prolongement de la durée de vie des réacteurs nucléaires, la création de nouveaux EPR, le déploiement de parc éoliens offshores, le photovoltaïque sur toit, l'adaptation de certains barrages hydroélectriques en STEP, le recours à plus d'effacement me semblent des pistes prioritaires. Cependant la problématique climat ne doit pas faire oublier la question de la biodiversité. Le développement de parcs photovoltaïques au sol, là où laisser repousser une forêt me semble bien plus efficace écologiquement, est à remettre en cause.
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