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Publié le 02/12/2022 - 10h27

atroui

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

C'est tout à fait vivable et acceptable comme mode de vie. Il faudrait prévoir de communiquer sur le rapport au froid (mettre des pulls, des chaussettes en hiver), sur la capacité des humains à s'endurcir (mentalement) vis-à-vis du froid. Aussi, le choix des matériaux des parois intérieures d'un habitat et la régulation hygrométrique ont un impact sur la sensation de confort (par ex.: privilégier le bois au carrelage, installer une ventilation mécanique). Un levier d'action nécessaire est l'enseignement des concepts de confort thermique en rénovation écologique aux particuliers ainsi qu'aux professionnels du bâtiment.