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Publié le 03/01/2023 - 09h58

CLM

  • B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

La France doit à tout prix être indépendante d'un point de vue énergétique. Cela passe dans un premier temps par la capacité de production : des investissements doivent avoir lieu pour développer les différentes filières de production d'électricité, que ce soit l'amélioration du nucléaire, les énergies renouvelables déjà en place ou encore les énergies à venir (hydrolien par exemple). Dans un deuxième temps, cela nécessite une disponibilité de l'énergie : on ne peut pas se permettre de ne miser que sur des productions intermittentes et non prédictibles comme l'éolien ou le solaire. Il existe bien entendu le nucléaire à développer encore mais aussi des énergies renouvelables comme l'hydrolien (encore lui) qui permettent une production prédictible. Troisièmement, le développement des énergies renouvelables doit s'assortir de moyens très développés de stockage de l'énergie : il faut développer la recherche sur les batteries ou les solutions autres comme l'hydrogène ou les STEP.