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Publié le 03/01/2023 - 10h22

JDUT

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Pour les ENR dont le solaire, privilégier les toits de bâtiments (usines, supermarchés, etc.), redévelopper une vraie filière nucléaire, un peu d'éolien offshore et surtout une grande sobriété tant personnelle qu'industrielle. Nous produisons des bio fertilisants qui nécessitent très peu de coûts énergétique en comparaison des phytos par exemple. Quand ces initiatives seront elles vraiment soutenues ? Il en va à la fois de l'écologie et de l'indépendance de la France.