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Publié le 03/01/2023 - 11h28

NicolasMdB

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Cela doit être couplé avec la rénovation/isolation massive des bâtiments, vu qu’il est estimé entre 5 et 8 millions de passoires thermiques en France. De plus, la classe moyenne nationale du DPE est D pour un habitat moyen de 90m2, en diminuant l’ensemble à l’ensemble d’une seule classe (soit C), on pourrait économiser près de 20 % de la dépense énergétique associée aux logements (à condition toutefois d’éviter un effet rebond en cherchant à augmenter par ex la température de chauffage avec les gains d’isolation). Et d’autre part, il faut inciter encore plus le passage à des systèmes de chauffage moins énergivores (PAC, panneaux thermodynamiques solaires, etc.), surtout en logement individuel/zones pavillonnaires.