Publié le 03/01/2023 - 13h53
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
L'énergie est déjà bien peu chère en regard de ce qu'elle nous apporte et de son coût environnemental si elle est fossile et carbonée. Il faut à mon avis mettre la priorité sur les aspects d'impacts environnementaux et d'indépendance, plus que sur des considérations financières. L'énergie peut coûter cher du moment qu'elle est non fossile, décarbonée, planifiée et organisée par un état régalien fort et prévoyant à long terme sur ces sujets.
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