Publié le 03/01/2023 - 18h47
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Les ENR consomment beaucoup de place, ont un retour sur l'investissement énergétique très mauvais et sont responsables d'une mortalité élevée des oiseaux et chauve-souris. Donc à limiter au profit du nucléaire. La souveraineté en matière énergétique est indispensable si l'on ne veut pas être pris en otage par les producteurs de matière première. Enfin, c'est trop facile d'exporter les externalités négatives.
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