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Publié le 03/11/2022 - 11h23

gilles.scelo@sfr.fr

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

L'expertise de RTE est de loin la plus aboutie et la plus fiable. La construction de nouveaux réacteurs nucléaires est assurément la solution la plus efficace, la plus durable dans le temps et la plus disponible répondant aux futurs besoins grandissants de notre consommation. L'objectif de 2050 est trop près pour être crédible. C'est de l'utopie pure et simple, dictée par les experts ayatollahs du GIEC. Revenons à la raison et soyons pragmatiques. Posons nous calmement la question : Quel est réellement l'impact de l'homme sur le climat, 10, 30, 70% sur le réchauffement? Par ailleurs, le sujet n'est pas la France, regardons ce que font les autres pays! Quel est leur impact et quelles dispositions prennent-ils? Arrêtons de nous pénaliser pendant que les autres progressent industriellement, économiquement et nous vendent leurs produits ou énergies fossiles. Stop à la naïveté française. Posons la question : A qui profite la propagande du dérèglement climatique ?