Publié le 03/11/2022 - 15h53
-
B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Les éléments apportés ne sont pas les bons. Pour commencer, à la question précédente, une majorité des contributeurs privilégient le passage massif au télétravail (entre autres) pour économiser l'énergie des transports. Néanmoins, je [mot modéré]çois mal un passage en télétravail dans une résidence chauffée à 17°C. Et même si je suis certain qu'une petite part des français n'y trouvera pas d'inconvénient, j'ai des doutes quant à la capacité d'entre eux à être heureux avec ce mode de vie (moi le premier). De mon point de vue, le point critique concernant l'énergie liée au chauffage est l'isolation complète et maximale de tous les bâtiments et tuyauteries, pour limiter au maximum la déperdition d'énergie. En effet à l'heure actuelle, un bâtiment de classe énergétique D (isolation) chauffant à 20 °C économiserait 25% d'énergie en plus en étant isolé A sans changement de température du chauffage, qu'en le laissant en D et en diminuant le chauffage à 18°C (Le % est variable selon les régions). De plus, le remplacement des chaudières au fioul et gaz parait également très urgent, qui plus est dans le contexte mondial actuel.
Partager la page
Soutiens