Publié le 03/12/2022 - 11h10
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C - Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux
L'eau qui coule est la première source d'énergie non animale et renouvelable dans l'histoire de l'humanité et est utilisée depuis plus de 3000 ans. L'éolien est venu ensuite. Puis finalement les sources d'énergie fossiles, charbon, pétrole, gaz et matériaux radioactifs que l'homme exploite depuis même pas 200 ans induisant la destruction de plus en plus rapide de l'écosystème. La France a connu jusqu'à 100000 moulins en activité pour moudre, scier, forger... et dès la fin du XIXeme siècle produire l'électricité qui a permis de s'éclairer autrement qu'à la bougie ou à l'huile d'origine animale. Peu à peu abandonnés à cause de la production centralisée d'énergie à partir de sources fossiles, seuls 3000 moulins sont encore exploités à ce jour. Il y a donc un potentiel lié à la remise en route de tout ces ouvrages dont l'usage s'est perdu et des études à mener concernant d'éventuels sites que nos anciens n'ont pas équipé à leur époque. Pas de mystère, seul un mix énergétique complet (hydro, éolien, solaire) couplé à une sobriété volontaire permettra d'assurer la sortie des sources d'énergie fossiles.
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