Publié le 04/01/2023 - 08h39
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
La minimisation de l'empreinte géographique permettra également de conserver plus d'espace à la biodiversité (sans oublier que les forêts sont de bons puits à carbone) Dans un monde qui pourrait se déstabiliser, l'indépendance énergétique doit être assurée au maximum. D'autant plus que l'extraction de minerais rares n'est pas sans conséquence sur la planète.
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