Publié le 04/11/2022 - 07h26
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Concernant la sobriété énergétique, le chauffage à une place de choix dans le débat publique instauré par les hommes politiques (et repris par les journalistes). En attendant, il existe de plus en plus de logements qui se développent sans chauffage, leur isolation et leur adaptabilité sont suffisants pour avoir une température entre 19 et 23°C toute l'année (on est loin des 17°C) Encore une fois, le débat autour de la température de chauffage n'est là que pour diviser les français (entre ceux qui ont des logements confortable, bien isolé et les autres), alors que les dépenses énergétiques inutilent sont partout autour de nous : j'habite une grande ville et toutes les façades des bâtiments administratifs et universités sont éclairées la nuit (tellement que l'on doit changer de trottoir pour ne pas être ébloui...) Les magasins et entreprises gardent leurs enseignes et locaux allumés toute la nuit, sans parler des magasins qui laisse leur portes ouvertes en hiver avec le chauffage à fond. Je pense qu'il y a beaucoup de dépenses énergétiques qui peuvent être réduite avant de s'attaquer au chauffage des citoyens, les Japonais on réussi à réduire leur consommation électrique de plus de 15% à la suite de l'accident de Fukushima en mettant en place des mesures de sobriété énergétique efficaces et cela sans demander aux Japonais de réduire leur chauffage...
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