Publié le 04/11/2022 - 10h22
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
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E - La minimisation du coût global du système électrique (moyens de production, moyens de flexibilité et de stockage, évolution des réseaux) pour conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
C'est bien la dernière hypothèse qui assure la compétitivité à venir de l'industrie française: Prolonger tous les réacteurs et poser dès maintenant à l'ASN la question du dépassement de 60 ans comme aux USA pour des réacteurs de même famille. ,Prolonger des réacteurs déjà amortis, c'est obtenir le prix de revient le plus bas du marché européen, 34€/MWh de coût cash. Les 6 puis 8 EPR n'ont de sens que présérie , car seul une effet série jusqu'à 2050 et au delà peut obtenir des prix compétitifs comme l'a démontré le précédent du premier parc. Important: une communication claire sur cette décision rassurerait les investisseurs industriels français et étrangers pour décider d'investissements industriels dans notre pays
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