Publié le 04/11/2022 - 16h38

• B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Il y a un équilibre à trouver entre : - privilégier les solutions les moins couteuses car vu l'ampleur du chantier chaque économie va avoir son importance. Donc ne pas tout miser sur des solutions trop immatures et illusoires (énergies marines, hydrogène (ça dépend des usages), fission) plutôt que sur des solutions qui ont fait leurs preuves (nucléaire, solaire, éolien,...) - ne pas faire n'importe quoi non plus. Donc préserver nos populations rurales, les accompagner, les inclure dans les projets diffus comme concentré. Mais surtout les faire participer en réindustrialisant. On voit que c'est bénéfique pour l'éolien ou les régions les plus favorables aux éoliennes sont celles qui en ont le plus.