Publié le 04/12/2022 - 17h14
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
L'absence de volonté politique pour accompagner l'indispensable rénovation thermique des bâtiments existants va se payer très cher et très vite. Les pouvoirs publics, aux échelles nationale et locales, peuvent et doivent créer des établissements publics de tiers investisseurs. En tant que de besoin, ces organismes avanceront les fonds nécessaires aux rénovations thermiques qui seront imposées et se rembourseront sur le long ou très long terme par une redevance d'un montant inférieur aux économies d'énergie générées par les travaux.
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