Publié le 05/01/2023 - 17h24

• B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais

• G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite

• J - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

Il est essentiel de se détourner du mirage d'un nucléaire de nouvelle génération, alors que nous ne savons même pas démanteler les centrales historiques et ne savons pas quoi faire des déchets si ce n'est les amonceler chez nous ou à l'étranger. Sans compter la dépendance que cela génère en termes d'approvisionnement, ce qui est incompatible avec notre indépendance énergétique. Il faut donc développer notre savoir-faire à déjà démanteler les centrales existantes et mettre un maximum de moyens sur les énergies renouvelables. Tout l'argent public dépensé dans la relance d'une nouvelle filière nucléaire (qui ne donnera lieu aux premières unités de production dans 15 ans au mieux !) sera autant d'argent perdu pour avancer dans la transition énergétique !