Publié le 05/01/2023 - 22h15
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
J'apporte une précision concernant ma 1ère réponse, une minimisation de l'empreinte géographique des projets oui, mais en se concentrant surtout sur la relance du nucléaire, les énergies renouvelables telles que le solaire ou l'éolien ne sont pas l'avenir, ils peuvent venir en complément, mais il est important de cesser les débats futiles à ce sujet et s'appuyer sur les chiffres fournis : aucune solution n'est parfaite mais le nucléaire est la seule solution existante pour faire face au réchauffement climatique, le limiter tout en nous permettant d'évoluer vers une société plus sobre mais en remplissant nos besoins énergétiques. Que les sceptiques s'appuient sur les différents experts dans le domaine plutôt que se laisser gouverner par une peur irrationnelle. La relance du nucléaire Français est indispensable pour pouvoir cocher l'ensemble des cases. Le rapport RTE et des différents experts dans le domaine ne laisse plus aucune place à divers débats qui ne font que ralentir l'action qui est plus qu'urgente depuis déjà longtemps. A noter que le scénario avec la relance totale du nucléaire conclus même dans ce cas à un mix électrique ne contenant plus que 50% de nucléaire.
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