Publié le 06/01/2023 - 14h31
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Si un réseau décentralisé avec des petites unités de production est peut-être plus résilient d'un point de vue de la production, les surcoûts de raccordement, d'entretien et d'équilibrage d'un tel réseau seraient prohibitifs. Il est préférable d'avoir de grosses unités de production, un réseau descendant vers les consommateurs et éventuellement des moyens de production locaux qui travaillent en effacement et non en injection sur le réseau. Enfin, il me semble que l'indépendance énergétique est à préférer à toute autre stratégie.
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