Publié le 06/01/2023 - 15h46
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
En France, la petite hydroélectricité représente près de 90 % des installations mais moins de 10 % de la production française d’hydroélectricité. Avec la baisse tendancielle des débits leur intéret productif réél va décroitre de manière importante faute de stockage. De plus le cout/benefice de la microhydro face au solaire ou l'éolien est très discutable. Par ailleurs, ces ouvrages créent des perturbations importantes sur les cours d’eau aujourd’hui bien connues et largement documentées dans la bibliographie qui se rajoutent à l'impact du changement climatique et accélère l'effondrement de la biodiversité. Quand la rivière est assec, l'écosystème aquatique meurent et la recolonisation est d'autant plus difficile qu'il y a d'obstacles (déjà trop nombreux) https://professionnels.ofb.fr/sites/default/files/pdf/cdr-ce/2022-01_Sy…
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