Publié le 06/01/2023 - 17h44
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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C - La répartition des installations d’énergie renouvelables de manière équilibrée et diffuse sur le territoire, avec des impacts locaux a priori plus modérés mais qui touchent l’ensemble du territoire
Même si les réponses A et C peuvent paraitre contradictoires, je pense qu'il faut à la fois développer des grosses installations là où c'est possible (parcs éoliens en mer, barrages hydrauliques, géothermie haute température aux Antilles et la Réunion) tout en poursuivant le développement de projets plus modestes là où la place disponible est moindre. Finalement, ce n'est pas tellement la taille (gros contre petit) qui compte, mais plutôt le choix de technologies et un dimensionnement pertinent en fonction du territoire d'accueil. L'indépendance énergétique et le développement des solutions de stockage (STEP turbinage et H2) sont aussi des critères importants selon moi.
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