Publié le 06/11/2022 - 17h38

• A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

En implantant des EPR2 ou des RNR GEN4 sur des sites nucléaires existants on évite d'avoir à convaincre du bien fait d'un tel site pour la vie économique locale la bonne expérience étant acquise. Les paysages sont préservés du mitage des éoliennes terrestres. Il est indispensable que la France soient capable de fabriquer en cas de crise des composants électroniques sur son territoire ou des composants tel les batteries. Pour cela il faut exiger une 2ème source d'approvisionnement d'un composant 100% compatible à chaque commande de composants au moins en UE et ou une licence sources de sécurité déposé chez un tiers notarié en cas de défaillance du fournisseur principale pour pouvoir faire produire le composant par un tiers.