Publié le 06/11/2022 - 18h21
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Une reduction à un certain degré ne fait aucun sens, exp 17 C si nous ne prenons pas d'abord en compte la performance energetique des batiments. L'allocation d'un quota de Kw/m2 semble bien plus approprié, ainsi, ceux qui n'ont pas peur du froid pourraient se contenter de 17C avec une isolation moindre et les plus frileux pourraient se démener pour accroitre la performance énergétique de leur logement ( ou en changer pour les locataires forçant les propriétaires à isoler leurs logement par peur de vacance locative). La consommation énergétique globale par foyer devrait également etre progressive. Au dela d'un certain seuil, il faudrait outrageusement taxer les occupants.
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