Partager la page

Publié le 07/01/2023 - 22h38

JA

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

L'électricité que l'on pourra sortir dépend avant tout de l'énergie primaire et des convertisseurs à notre disposition, donc c'est évidemment la priorité pour choisir notre mix. on ira pas contre la nature parce qu'on l'aura choisi. Ensuite, notre territoire étant limité avec une population grandissante avec un conflit d'usage des sols de plus en plus prégnantes, nous devons avoir une énergie dense comme base (nucléaire avec grand carénage et lancer le nucléaire de 4è génération) De plus, notre consommation d'énergie étant de 1900TWH pour 500TWH d'électricité par an, il va falloir faire de la sobriété et développer les ENR vu que le nouveau nucléaire n'est pas pour demain. Par contre, il faudra développer 1kw d'enr non pilotable pour 2 kw pilotable avec des barrages sinon notre argent sera dépensé pour rien et éviter de dilapider notre énergie dans des énergies aux facteurs de charge mauvais.