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Publié le 07/11/2022 - 08h41

Emma

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

La sobriété doit aussi passer par des innovations technologiques, rendant plus frugaux en énergie nos machines du quotidien, et la rénovation du parc immobilier existant pour éviter les passoires thermiques. Mais en attendant le passage de ce cap d'objectifs, à plus court terme, une discipline collective peut être envisagée. Quand il s'agit simplement de confort, la renonciation à quelques degrés est justifiée et le sacrifice semble raisonnable ; cependant se pose la question de l'application effective de telles mesures à grande échelle.