Publié le 07/12/2022 - 15h09
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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G - La concertation avec tous les acteurs du territoire tout au long de la conception des projets
L'impact des projets solaires au sol dans les années qui viennent devra nécessairement être appréhendé par l'administration et les chambres consultaires de manière plus ouverte et pro active qu'aujourd'hui. Les Services sont encore trop dans une logique PV au sol = friches (anciennes carrières/décharge, etc.). Mais ce foncier est désormais épuisé ou inadapté. La nécessité de nouveau foncier va donc amener la question des conflit d'usage avec l'agriculture, l'urbanisation, etc. et doit forcément être traité de manière équilibrée. Aujourd'hui, le solaire passe après la dénomination agricole d'un terrain sans regardé ce que ledit terrain a vraiment d'agricole (est-il vraiment cultivable, a quel prix environnemental du fait des intrants nécessaires, faut-il vraiment considérer le nombre d'années sans déclaration PAC (souvent 5 ans ) pour considérer qu'il n'est plus agricole ou propice pour le PV, etc. C'est sans parler des collectivités qui ont immobilisées des dizaines ou centaines d'ha de terres en zone AU ou ZAC mais qui restent vide depuis des années dans l'espoir d'y voir fleurir de la logistique ou des centres commerciaux. Ne peut-on pas imaginer libérer une partie de ce foncier à destination des ENR et du PV en particulier?
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