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Publié le 07/12/2022 - 17h19

BH

  • C - Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux

La plupart des installations sont existantes. EDF, la CNR, SHEMA, Électricité de Thahiti, Electricité de Mayotte, Electricité de Wallis et Futuna et Electricité & Eau de Calédonie pourrait pourraient augmenter la puissance de leurs centrales hydroélectriques si seulement l'Etat Français portait ses c****** fasse à l'UE et son dogme de l'ouverture des concessions. Ces entreprises historiques exploitent très bien ces ouvrages et leur actionnariat publique leur permet d'investir dans l'hydroélectricité qui est couteux mais tellement nécessaire au réseau électrique. A cela il faudrait développer les micro-centrales sur dans toute la France. Toutes les rivières de France sont pourvues de centaines de moulin. Les puissances sont très limitées mais les ouvrages sont existants. Des travaux mineurs seraient nécessaires pour adapter les prises d'eau et installer des turbines. Les investissements sont très faibles. L'impact sur le réseau électrique est également faible. Il permettra de produire, certes très peu d'énergie, mais de manière fiable, constante locale et dans des lieux historiques. A l'échelle d'un village, cela fournira de l'électricité aux bâtiments publiques. Cependant, il faudra arrêter net cette politique de casse des barrages historiques qui est indigne et appliquée avec beaucoup de zèle par les police de l'eau et DREAL. Le Conseil d'Etat a beau avoir statué sur la question. Les acteurs représentant l'Etat sont toujours autant zélés sur ces questions.