Publié le 08/01/2023 - 11h11
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C - La répartition des installations d’énergie renouvelables de manière équilibrée et diffuse sur le territoire, avec des impacts locaux a priori plus modérés mais qui touchent l’ensemble du territoire
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
L’avenir du mix électrique doit être renouvelable. Mais dans la transition, nous devons prendre en compte d’autres facteurs : la montée en charge, les coûts du renouvelable (aujourd’hui intermittence ; empreinte territoriale notamment du solaire ; etc.). Le nucléaire peut faciliter cette transition. Mais les coûts et risques à long terme du nucléaire demandent d’en sortir sous un horizon défini. Le mix électrique doit aussi nous donner une certaine indépendance. Les tensions et conflits ont des chances d’augmenter à l’avenir. Enfin, la question du mix est inséparable de la question des besoins énergétiques : qui doivent diminuer.
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