2023 - 14h50

ZCB

C - La répartition des installations d’énergie renouvelables de manière équilibrée et diffuse sur le territoire, avec des impacts locaux a priori plus modérés mais qui touchent l’ensemble du territoire
E - La minimisation du coût global du système électrique (moyens de production, moyens de flexibilité et de stockage, évolution des réseaux) pour conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs

Aussi bien les particuliers, que les entreprises et les pouvoirs publics (administrations et élus) devraient avoir un but simple par exemple de réduire de 10 % par an leur empreinte carbone. En fixant une règle qui responsabilise tous les acteurs il ne peux plus y avoir d'échappatoire. Il faut également lier cette règle avec une "bourse" à somme nulle entre les acteurs. Ceux qui avance plus vite reçoivent les contributions de ceux qui n'avance pas assez vite. Le prix de cette contribution étant variable en fonction de l'offre et la demande. Pour éviter une double contribution entre d'un côté les particuliers et les entreprises et de l'autre les pouvoirs publics (administrations et élus) il faut que cette contribution soit répartie par exemple à 50/50 ou autre. Cette incitation devrait permettre au PV en toiture et en ombrière de vraiment se développer alors qu'il piétine en France. Idem pour la méthanisation (Biogaz) qui doit pouvoir assez facilement nous rendre indépendant de toutes les importations de gaz et GNL. Il en est de même avec l'éolien terrestre et en mer. Avec cette production décentralisée le coût du kWh à la production sera en moyenne inférieur à 6 cts, mais avec des variations en fonction du niveau de production local. Les charges de réseau sont également ainsi minimisées car le réseau actuellement "descendant" devient à la fois "descendant" lorsque le niveau local de production est déficitaire et "ascendant" lorsqu'il est excédentaire. Les éventuelles adaptations du réseau étant payés par les énergies renouvelables à raccorder.

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