Publié le 09/01/2023 - 12h33

• A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets

Au vu de la situation hydrologique déjà difficile observée sur l'ensemble du territoire (et qui risque de s'aggraver avec les effets du changement climatique), nous ne pouvons nous permettre de rajouter des pressions supplémentaires sur les milieux aquatiques, d'autant plus pour des gains énergétiques faibles par rapport aux coûts et à l'impact des projets envisagés. Les principaux projets rentables à l'échelle nationale sont déjà en place et il convient de les optimiser.