Publié le 09/01/2023 - 21h23
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B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais
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F - Le maintien d’un niveau de sûreté parmi les plus élevés du monde
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
Je ne sais que répondre tant le pilotage de la filière par le Corps des Mines est opaque : - 2ème génération défectueuse (fissures sous contrainte) - L'EPR de Flamanville sera-t-il mis en service ? - le design de l'EPR 2 n'est pas validé. Sera-t-il livré à temps pour assurer la trajectoire de décarbonation 2050 ? - pour des raisons stratégiques, la technologie est inexportable, et cela ne fait que s'aggraver - concernant l'indépendance, nous achetons de l'uranium enrichi à Rosatom... Sans être anti-nucléaire primaire, il faut une bonne dose de (mauvaise ?) foi pour y croire. Même en cas de décision de construction de 14 EPR, il conviendra de sécuriser la production par des renouvelables.
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