Publié le 10/01/2023 - 15h36

• A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Le bâtiment représente près de la moitié des émissions , on ne peut donc pas l'ignorer de par son impact. Il faut investir massivement pour isoler et trouver de nouvelles techniques d'isolation pour l'ancien en protégeant notre patrimoine. Je pense que l'ondoit etre capable de trouver des nouveaux isolants extra mince qui permettront d'allier une bonne isolation et la préservation du patrimoine immobilier des particuliers. Vu le cout de l'énergie, et avec des aides d'état massive (réduction d'impôt pour tous) cela permettra de lancer une vraie dynamique. Par contre, si les passoires thermiques sont interdites a la location en 2023, il parait impensable d'atteindre en 2034 une mise aux normes des logements classe E, F, et G (pas assez d'entreprise pour ce marché). Décaler cette date de 2034 est indispensable car sinon, le but n'est pas crédible.