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Publié le 10/11/2022 - 09h47

JK

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Malgré mon choix de l'option B, il semble qu'une baisse des températures moyennes de chauffage préconisées ne s'impose pas clairement. Les consignes déjà existantes (19°C pour les institutions/bâtiments publics) ne sont pas respectées dans de nombreuses situations : plutôt qu'imposer des contraintes plus fortes à ceux qui jouent le jeu, mieux vaudrait s'assurer du respect des contraintes raisonnables qui existent déjà. Le défaut d'isolation dans certains lieux et habitations semble également critique.