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Publié le 11/01/2023 - 18h42

BL

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Les deux premières propositions manquent de clarté quand à l'utilisation d'eau chaude et d'appareils électroniques et électroménagers. C'est tout de même la proposition que je choisis car je n'ai pas l'impression que nous avons le choix. Nous avons des engagements, et nous devons les tenir. Aucune des proposition n'est associé à un résultat précis, et ce n'est pas non plus le cas dans les scénarios de l'ADEME. J'ai de toute façon l'impression que nous avons de la marge dans ce secteur : j'habite au RDC d'un immeuble, et nous somme chauffés à 23°. Je doute fortement que tous les espaces publiques et les appartements soient chauffés à 19° vu le tollé que cette proposition a créée, donc baisser de 2° ne me semble pas si dur. Quant à l'eau chaude, c'est plus délicat, mais ils est sûrement possible de gagner en faisant plus de lessives et de vaisselles à froid, et en se douchant moins (longtemps) mais toujours chaud. Pour les appareils électroménagers, avoir des machines à laver mutualisées par immeuble, restreindre la taille des réfrigérateurs et encourager l'habitat communautaire peut aussi nous donner des billes. S'éduquer sur la conservation des aliments et ce qui doit réellement aller au frigo aussi, de même que conserver des choses à l'extérieur en hiver. Nous avons encore de la marge avant un "retour arrière".