Publié le 12/01/2023 - 14h18
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
La baisse du chauffage, si elle s'accompagne de changement d'habitudes de vie (habillement, ameublement, activité), ne se traduit pas par une forte diminution du confort. Évidemment, elle n'a de sens que si elle s'inscrit dans une campagne massive de rénovation thermique des bâtiment et d'amélioration de l'efficacité des moyens de chauffage utilisés.
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