Publié le 12/01/2023 - 14h20

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

l'hiver 2022-2023 a montré qu'avec de l'information et des explications, les français (citoyens, entreprise, services état, etc...) était capable (sans raler) de réduire leur consommation de près de 10%. donc le potentiel, l'envie sont là et le contexte(énergétique, géopolitique, climatologique,économique...) si prête => accentuons les actions, continuons à informer, à inciter à mettre en place les outils pour permettre à tout à chacun de faire des actions de sobriété heureuse (comme dirait l'autre). l'impact sur le pouvoir d'achat, sur la souveraineté énergétique de la France, sur la compétitivité des entreprises sera immédiat. les bénéfices seront importants et indispensables. Des efforts plus substantiels pourront être évoqués d'ores et déja pour celles et ceux qui peuvent et veulent aller plus loin, ils devront être sérieusement envisagés d'ici 5 /10 quand tout le monde aura pris le pli pour passer à des démarches de sobriétés encore supérieur sur lemodèle de nombreux concitoyens qui eux auront pris dès aujourd'hui le pas (dé)montrer que c'était faisable.