Publié le 12/01/2023 - 17h23

• B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Les événements récents (crise Covid et guerre en Ukraine) ont montré notre trop grande dépendance aussi bien en matière d’énergie fossile qu’en terme d’importation de produits pharmaceutiques et manufacturés. Il est donc important d’avoir un un système de production électrique le moins dépendant possible des approvisionnements en énergie fossile et en métaux et terres rares tout en assurant un système de production électrique pilotable, capable de répondre aux besoins croissants dus à l’électrification des usages et à la reindustrialisation souhaitée tout en étant compétitif en terme de coûts pour les consommateurs. Sur ce dernier point il me paraît important de mettre fin à l’ARENH.