Partager la page

Publié le 12/11/2022 - 15h16

Karine

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Seuls des efforts très importants, désormais, nous permettront de réduire de manière drastique nos émissions dee GES car nous avons trop tardé à engager l'effort. 17°C, c'est difficile en hiver mais nous n'avons plus le choix. Ces efforts doivent passer par une forme de contrainte, qui peut être une énergie très peu chère sur les premiers KwH, puis chère sur les suivants, et très chère sur le gaspillage. Il faut fortement taxer les plus riches afin d'aider les ménages les plus fragiles, notamment ceux qui vivent encore dans des passoires thermiques et n'ont pas le choix de consommer beaucoup.