Publié le 13/01/2023 - 09h58
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B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais
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C - La résilience au changement climatique
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
Il faut retrouver le pragmatisme du pilotage de cette filière, qui est une filière industrielle et doit être gérer par un industriel....et non par les politiques. Le nucléaire est essentielle et soutient notre pays, et elle doit pouvoir être une énergie sur laquelle on doit compter sur les prochaines dizaines d'années. L'idéal serait de pouvoir réduire notre dépendance uranium en recyclant les déchets (on pense à toi Superphénix, parti trop tôt). Et ainsi augmenter notre indépendance énergétique sans mettre la production en danger. Néanmoins le développement du nucléaire ne doit pas amenuiser le développement des énergies renouvelables. Donc oui pour maintenir au mieux le parc actuel, oui pour à la limite développer le recyclage des déchets. Et oui pour un pilotage de la filière sur la durée et non remis en cause tous les 5 ans.
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