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Publié le 13/11/2022 - 16h02

Alexandre M

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

La plupart des efforts réclamés ici semblent facilement acceptables, et ce d'autant plus qu'ils sont presque systématiquement synonyme d'économies avec une baisse de la facture. Ces changements sont simplement des questions d'usage et la mise en place de compteurs intelligents devrait permettre d'imposer/d'inciter à ces changements (cf gestion de l'eau dans le Var cet été). En revanche, une contrainte forte doit être mise en place sur les propriétaires pour la rénovation des bâtiments. Une partie non négligeable des français sont locataires et ne maitrisent que partiellement la consommation énergétique de leur logement. L'Etat et les collectivités territoriales disposent de tous les outils pour mettre en place une politique ambitieuse en la matière (aides financières et techniques, expropriation en cas de refus de mise aux normes du logement,...)