Publié le 13/11/2022 - 22h43
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Un changement significatif dans les usages semble inévitable au regard de l’inertie dans l’évolution de l’isolation des bâtiments (rythme de rénovation efficace très lent, malgré les dispositifs comme MaPrimeRénov, dont il a été montré que pour l’instant ils bénéficient surtout à des rénovations très partielles). Le problème est que les inégalités sociales risquent de se ressentir fortement : il faut en tenir compte absolument et mettre davantage à contribution les plus riches d’entre nous, qui ont une consommation plus forte en moyenne (taille des logements, nombre d’appareils électroménagers…).
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