Publié le 14/11/2022 - 18h07

• A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Nous manquons d'une vraie filière française dans les énergies renouvelables. Il faut l'encourager. Sur le coût lié aux infrastructures électriques, il est biaisé de penser que les éoliennes coûtent cher et d'ignorer le coût de démantèlement astronomique des centrales nucléaires françaises, que l'on feint de ne pas voir mais qu'il faudra bien un jour payer