Publié le 14/12/2022 - 10h52
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
En plus d'une rénovation énergétique massive, c'est tout l'aspect comportemental qu'il faut travailler. Etre aussi exemplaire chez soi qu'au bureau, couper l'éclairage, la clim, le chauffage quand on quitte la pièce. C'est évident et pourtant très peu réalisé. Au bureau, on laisse le chauffage le soir pour que le lendemain matin le bureau soit chaud en arrivant et inversement pour la clim en hiver. Le scénario 1 avec une température à 17°C me semble compliqué. Pour les métiers de bureau, la position statique rend compliqué le confort à 17°C. En limitant les consignes à 17°C vous verrez apparaitre des grilles pains à chaque pied de bureau pour réchauffer les plus frileux, la pratique ne serait pas vertueuse. Pour pallier les problématiques comportementales, l'automatisation des installations énergivores d'un bâtiments peut être une solution avec des Gestion technique du bâtiment 2.0 (la GTB Light). Positionnement de capteur dans les pièces d'un bâtiments qui analyses la présence dans les pièces, détecte la luminosité, l'ouverture d'une fenêtre et ou d'une porte et régule automatiquement les différentes organes (chaud, froid, éclairage). Le principale frein de cette solution et qu'il est souvent compliqué d'installer une GTB dans un bâtiment existant car nécessite de gros travaux de rénovation. Mais la GTB light permet de communiquer sans fils et s'installe très rapidement dans les pièces, et limite donc les coûts d'installation.
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