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Publié le 16/01/2023 - 14h00

LUCIEB

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Le secteur résidentiel/tertiaire représente 18 % de l’inventaire national de GES. (https://www.notre-environnement.gouv.fr/themes/climat/les-emissions-de-…) Des efforts sont donc nécessaire à l’échelle individuelle : augmentation de l’habitat partagé, limitation volontaire de la consommation d’électricité, de chauffage et d’eau chaude mais ces actions doivent venir en complément d’actions des acteurs industriels : réduction des consommations unitaires des équipements : électroménager, éclairage, informatique et en complément de la mise en œuvre de politiques publiques : rénovation thermique des bâtiments (doublement du rythme de rénovations), normes sur les nouveaux bâtiments (RE 2020), décret tertiaire, utilisation privilégiée des pompes à chaleur… Les actions individuelles sont des leviers mais les actions à l’échelle de politiques publiques et des industrielles est bien plus importantes.